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Chef de projet Start-Up internet

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Chef de projet Start-Up

J’ai bientôt vingt ans d’expérience internet, j’ai vendu des services aux webmasters, j’ai fais du référencement, j’ai développé des applications Android, plusieurs logiciels SaaS et des centaines de sites.

Je suis un puits sans fond d’informations sur l’entrepreneuriat internet.

J’ai essayé de monter des « Start-Up » internet mais je suis très mauvais dans la recherche d’investisseurs et je ne sais pas partager mes profits.

Je suis un vrai profil rentable pour les employeurs.

L’important pour réussir votre « Start-Up » est de trouver des investissements ; les votres ou ceux d’investisseurs. C’est évident, c’est la base, c’est le levier qui permettra d’embaucher des développeurs et des maquilleurs pour conduire votre idée vers la concrétisation.

Il ne faut pas se voiler la face, la grande majorité des « Start-Up » sont perpétuellement en mode « proof of concept », c’est à dire que leurs véritables clients sont les investisseurs et elles ne produisent que des maquettes dans le but de trouver d’autres investissements.

Elles produisent des démonstrations et du rêve en plaquettes. Elles recrutent en masse des profils « juniors » et choisissent leurs technologies en fonction du marché de l’emploi : des juniors formés en quelques mois dans des centres de formations de masse pour des technologies simples à comprendre. Technologies qui permettent de ne réaliser que des maquettes « proof of concept » fonctionnelles et preuve d’activité sur le projet.

Évidemment c’est du grand n’importe quoi, ça n’est pas avec ce genre de modèle qu’on arrive à faire aboutir une idée « Start-Up ». Ce type de modèle ne peut pas tenir la charge d’une activité réelle, rentable et évolutive.

Maintenir son idée en maquette perpétuelle pour trouver des investisseurs c’est la condamner au déficit et gâcher les premiers investissements.

Mais oui, c’est bel et bien comme ça que ça se passe ; et ça marche dans <1% des cas, paraît-il.

Le mot « Start-Up » ne doit pas vouloir dire gâchis et déficits nécessaires, systématiques ou automatiques.

Technologie, évolutivité, acquisition, sécurité, connecteurs, mobilité

Technologie : Quelle technologie utiliser ? Il existe des dizaines de langages qui produisent tous le même résultat ; c’est à dire un site web ou un logiciel.
Java, C#, PHP, Python, JavaScript, SQL, NoSQL.. ..tous ces langages ne se valent pas, on peut dire à la louche qu’en en général plus un langage est compliqué et plus il est performant ; mais en pratique un langage se choisit selon sa destination et les compétences en ressources humaines. Les performances, du langage et des RH, influent sur les coûts futurs. Choisir un langage en fonction de la disponibilité des ressources humaines, c’est ne pas prévoir l’avenir et c’est s’aliéner à des boulets technologiques.

Évolutivité : Un jour votre activité sera rentable et pour devenir très rentable il faut dès à présent penser à l’évolution de votre service. Il y a plein de façons de prévoir les évolutions. Personnellement, en tant que développeur, mon avis est de penser « by design » au moment où vous serrez obligé de tout recommencer.
Car en programmation informatique il vaut souvent mieux repartir d’une page blanche que de panser (patcher) continuellement une application qui ne correspond pas au besoin réel. Pour arriver à prévoir ce type de changement il faut que les données et les services soient pensés dès la conception comme migrables (Connecteurs).

Acquisition : le métier de l’acquisition de trafic est large et complexe. C’est un métier qui n’a rien avoir avec la programmation informatique même si dans certaines composantes des notions sont nécessaires. Il faut être spécialiste en marketing. J’ai d’excellentes compétences dans ce domaine, mais je n’aime pas me qualifier d’expert, c’est une activité qui dépend trop de services et algorithmes externes ; contrairement au code ça n’est pas une science exacte.

Un code propre, répondant, évolutif à volonté et à la volée c’est une bonne base pour travailler l’acquisition ; je commence toujours par là dès le départ car l’acquisition se gère dès le début.

Sécurité : La sécurité informatique est très importante, un problème de sécurité et c’est la ruine assurée. La sécurité se pense comme un secret ; se reposer sur des services ou des fonctionnalités tiers casse ce secret.

RGPD / GDPR font partie de la sécurité, vous pouvez collecter des données sur vos utilisateurs, c’est important pour faire des profits. Mais devenir boulimique de statistiques en collectant tout et n’importe quoi c’est risqué votre réputation et faire de la sécurité une paranoïa.

Connecteurs : Sauf si votre activité repose dès le départ sur des services externes où ça serait donc une évidence, prévoir la connexion future de votre « Start-Up » à des services externes c’est fondamental. OAuth et RestApi doivent être pensés dès le début de votre activité. Si votre « Start-Up » est pluggable, enfichable, brancheable, c’est qu’elle sera migrable (Évolutivité), sécurisée car toute ouverte dès le début (Sécurité) et séduisante pour des partenaires potentiels (Acquisition). En bref, OAuth et RestApi c’est la base d’une « Start-Up » réussie. Il faut le penser dès le début, votre Ux doit être basée sur votre Api.

Mobilité : Créer une application mobile c’est essentiel, pas besoin d’en discuter. Les bons connecteurs doivent etre mis en place bien avant de réfléchir à l’application (Connecteurs). Parfois même c’est l’application qui développe le service et il faut donc parfois commencer par l’application.

User des technologies qui permettent d’avoir un unique code pour iOs et Android (Flutter, PhoneGap ou React Native) est une grosse erreur. Ces frameworks permettent des développements rapides, c’est sûr ; mais les fonctionnalités sont limitées, ne s’intègrent pas parfaitement à l’environnement logiciel de l’appareil ciblé et sont parfois lentes et frustrantes pour l’utilisateur. Encore une fois, il faut vous demander si vous réalisez une maquette « proof of concept » ou si vous créez une entreprise.

Nous entretenir pour me recruter

Je suis un profil particulier, je ne mâche pas mes mots et je ne me contente pas de récolter mon salaire. Je travaille beaucoup, mon emploi n’est pas qu’un travail c’est une une mission. Je suis un profil rentable et vecteur de profits. Je suis un vrai partenaire d’entreprise.

Pratico-pratique, je pèse une équipe de quatre bons développeurs juniors et leurs managers inclus.

N’hésitez pas à me contacter pour discuter, je travail actuellement sur un projet SaaS pour la gendarmerie mais je serai bientôt disponible et nous pouvons commencer tout de suite ; voir en télétravail.

Mon téléphone 07 87 19 33 62 et mon email laurent@page.live. J’habite à Veyrac dans le 87 en Haute-Vienne.


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